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Ce premier groupe d'actions du
Clos Salembier avait débuté sa
formation au mois de mars 1954,
dans un local appartenant au mi-
litant Serrir Abdallah. Une sorte
d'abri situé au Ravin de la femme
sauvage, donnant en bas sur la
route du ruisseau, et par le haut,
surplombé par la rue des Coque-
licots. Parmi les éléments qui par-
ticipèrent à ce stage, il y avait Saïd
Madani, Tadjrouni Omar, Bou-
khechba Ramdane, Menouar Arif,
et Safti Bachir. La couverture de
cette opération fut assurée par
Bouazza Méziane qui fut prématu-
rément arrêté par la police fran-
çaise, ainsi que Serrir Abdallah.
Après cette arrestation, ce groupe
fut repris en main par Debbih Ché-
rif dit Si Mourad qui s'occupa per-
sonnellement de former un noyau
de six éléments devant participer
aux opérations prévues au déclen-
chement de la lutte. Il s'agit de :
1- Ouarti Amar, dit Mohamed yeux
bleus, neveu de Hassène le tailleur.
2- Boukhechba Ramdane.
3-Tadjrouni Omar dit Ouamrat.
4-Amiri Amar.
Ainsi que trois éléments du sec-
teur de la Redoute, qui sont :
5- Gacem Mohamed dit Lekhel.
6- Abdi Djaffar.
7- Medjkane Ali.
Les objectifs retenus à l’action du
déclenchement de l’insurrection
portaient :
- Incendie du dépôt de liège du
Ruisseau.
- Incendie des établissements Pan-
hard du Ravin de la femme sau-
vage.
Au dernier moment un contre-
ordre allait désigner d'autres élé-
ments pour ces opérations, et
d'autres actions pour le groupe.
C'est ainsi qu'il en fut décidé, et
c'est ainsi qu'il en sera. Dès le
début de 1954, Bouadjadj s'était
rallié aux unionistes, activistes,
et s'employa à la diffusion clan-
destine du journal
le patriote
qui
n'est pas destiné à l'ensemble de
la population, mais aux militants
et sympathisants seulement, qui,
eux, le transmettaient à qui, ils ju-
geaient bon. Bouadjadj se lança à
corps perdu dans la préparation
de la lutte armée qu'il savait émi-
nente, étant assez près des têtes
pensantes du mouvement pour
s'en convaincre. Et il dira :
«Tout ne se passe pas toujours
comme on l’aurait voulu, la prépa-
ration des explosifs notamment.
C'est un étudiant qui devait nous
les préparer, il était un petit peu
lancé dans la chimie, la physique,
il voulait nous faire de la nitrogly-
cérine. On a eu une histoire ter-
rible à la Redoute. La Redoute
c'est un fief nationaliste - sur-
tout la rue des Mimosas – souli-
gnera-t-il. On a fait une petite ca-
tastrophe, on n'avait pas respecté
les pourcentages des acides, et
ça a explosé, tout est parti en
l'air…. En tout cas, ce garçon était
de bonne volonté, et il avait du
cœur et du courage». Au rythme
de un groupe de cinq à neuf
membres tous les 45 jours, cet
étudiant fit le maximum en for-
mant de janvier à septembre 1954,
pas moins de 5 groupes d’artifi-
cier, avec l’aide desquels il fit fabri-
quer plus de 100 kg de pâte explo-
sive, et de vieilles boîtes d'huile
moteurs. Il a constitué des corps
de bombes bourrées de cette pâte
explosive. Rabah Bitat eu une en-
trevue avec les chefs des groupes
qui ont été formés, et après les
avoir félicités de leurs réussite, il
leur exposa les buts de l'action
envisagée à Alger la capitale du
pays. «Il fallait y faire une néces-
saire et spectaculaire démonstra-
tion de la présence de l'organi-
sation." Bouadjadj fin prêt, n’at-
tendait plus qu'à déterminer avec
Bitat les cibles et les endroits où
devraient être placées les bombes,
et à attendre que soit fixée la date
de l'action. Il va sans dire que pour
tous les hommes qui allaient s’im-
pliquer dans la lutte armée, il ne
s’agit pas là d'un choix fortuit ou
gratuit, d'une «préférence» pour
la violence, mais d'une situation
particulière d’insoumission à
l'ordre colonial, et où, après avoir
usé de toutes les formes de re-
vendications passives et non vio-
lentes, ont été à chaque fois «les
dindons de la farce». Dupés et in-
sultés, roulés dans la boue et hu-
miliés, ces militants n’avaient plus
que ce mode d'expression «les
armes pour obtenir le droit à dis-
poser de soi-même». La préférence
pour la violence dans le cas de
cette Algérie, et le Maghreb par ex-
tension, présente entre autres,
deux des plus importantes expli-
cations : la première raison et que
la lutte violente ne découle pas
d'une préférence gratuite, d'un
amour immodéré de la casse, mais
d'une stratégie penser qui a pour
finalité l'expulsion de l'autorité co-
loniale.
La seconde raison, au choix de la
violence, c'est que les actions vio-
lentes ne sont pas l'ensemble de
la lutte populaire de partisans,
mais seulement la forme qu'elle
revêt dans le plus part des cas.
En fin de compte, et finalement
l'essence même de la lutte popu-
laire de partisans n'est pas la vio-
lence, mais l'illégalisme, dont la
violence est simplement la forme
d'expression la plus dure.
Dans le cas de figure de l'Algérie,
l'illégalisme, et une action illégale
selon la légalité de l'Etat français.
Car selon ceux qui revendiquent
l'indépendance de ce pays, la léga-
lité est chez ceux qui ne recon-
naissent pas l'Algérie française,
et c'est pour cela que se justifie la
lutte violente chez les partisans de
l'Algérie algérienne. Car en effet ce
pays est Algérien. Evidemment le
concept de lutte violente de par-
tisans n'est pas la théorie de la
violence minoritaire, de la vio-
lence de petit groupe qui se sub-
stituerait au peuple. Au contraire
le concept entraîne à l'évidence le
développement populaire, de
masse, de la guérilla contre l'occu-
pant.
((AA ssuuiivvrree))
CChhaabbaannee NNoorrddiinnee,,
histoire
La NR 4472 – Dimanche 4 novembre 2012
10
,
En ce mois de juin 1954,
Didouche Mourad était
dans son quartier de la
Redoute, actuellement
El-Mouradia, chez son ami
Lamrani Hassène dit «le
tailleur» qu’ il entretenait
de choses importantes,
puisque il était passé 18
heures lorsqu’il entra au
magasin.
Guerre d’occupation
Lutte de Libération au Clos Salembier (II)
RRééppuubblliiqquuee AAllggéérriieennnnee DDéémmooccrraattiiqquuee eett PPooppuullaaiirree
WWiillaayyaa ddee BBaattnnaa
DDaaïïrraa ddIIcchheemmoouull
CCoommmmuunnee ddee FFoouumm--TToou
ubb
NNIIFF :: 009988440055331155004477552233
AVIS D’APPEL D’OFFRES NATIONAL
OUVERT N° 01/2012
Le président de l’Apc de Foum-Toub lance un avis d’appel d’offres national ouvert pour l’opération suivante
:
ACQUISITION D’UN RÉTRO-CHARGEUR
Les fournisseurs qualifiées pour fournir cet engin peuvent soumissionner et sont appelés à retirer le
cahier des charges auprès du Bureau des contrats et des marchés de la commune contre paiement de la
somme de 1.500 DA versée auprès du trésorier des communes d’Ichemoul. Les offres doivent être
accompagnées des pièces obligatoires suivantes :
OOffffrree tteecchhnniiqquuee ::
La déclaration à souscrire dûment signée et établie selon le modèle du cahier des charges
La déclaration de probité dûment signée et établie selon le modèle du cahier des charges
L’instruction aux soumissionnaires signée par le soumissionnaire avec la mention «Lu et approuvé» et
portant son paraphe sur chaque page
Le registre de commerce réimmatriculé
du soumissionnaire (copie légalisée)
L’extrait du casier judiciaire n° 03 du soumissionnaire, du gérant ou du directeur général de
l’entreprise datant de moins de trois mois (copie originale)
Un extrait de rôle apuré ou avec échéancier de paiement portant la mention «Non inscrit au fichier
national des fraudeurs» (copie originale)
Les statuts de l’entreprise dans le cas d’une Sarl, Eurl ou Spa
L’identification fiscale (copie légalisée)
Attestation de mise à jour Casnos (copie légalisée)
OOffffrree ffiinnaanncciièèrree ::
La lettre de soumission dûment signée et établie selon le modèle du cahier des charges
Le CPS signé par le soumissionnaire avec la mention «Lu et approuvé» et portant son paraphe sur
chaque page
Le bordereau des prix unitaires dûment renseigné et signé
Le devis quantitatif et estimatif dûment renseigné et signé
Les offres doivent être adressées dans des enveloppes cachetées détaillées comme suit : enveloppe 1
contenant l’offre technique et enveloppe 2 contenant l’offre financière. Une troisième enveloppe
contiendra les deux enveloppes 1 et 2 cachetée et anonyme adressée à Monsieur le président de l’Apc de
Foum-Toub avec la mention «Soumission à ne pas ouvrir – Acquisition d’un rétro-chargeur». La durée de
préparation des offres est fixée à vingt et un (21) jours à compter de la date de la première parution dans
le Bomop ou dans les quotidiens nationaux. Le dépôt des offres est fixée au dernier jour de la durée de
préparation des offres, de 9h à 14h. L’ouverture des plis se fera le même jour du dépôt des offres, à partir
de 14h, au siège de l’Apc. Les soumissionnaires sont invitées à assister à la séance d’ouverture. Les
soumissionnaires resteront engagés par leurs offres pendant une durée de cent vingt (120) jours à
compter de la date limite de dépôt des offres.
Nlle République / 4/11/12 / ANEP 66439/25
RRééppuubblliiqquuee AAllggéérriieennnnee DDéémmooccrraattiiqquuee eett PPooppuullaaiirree
CCoommmmuunnee ddee BBoouuttaalleebb
TTééll.. :: 003366..9955..3311..2255 FFaaxx :: 003366.
.7755..3311..1166
Avis d’appel d’offres national restreint
La commune de Boutaleb lance un avis d’appel d’offres national restreint pour :
RÉPARATION DES CHEMINS COMMUNAUX
INTITULÉ DU PROJET : RÉPARATION DU CHEMIN COMMUNAL 472 ET 472A RELIANT CW09 À GUENIFA SUR 2,7
KM
Retrait des DAO : les entreprises répondant aux conditions suivantes :
- avoir une qualification en activité principale dans le domaine des travaux publics, catégorie IV ou plus
- avoir réalisé au moins un cumul de 2 km de travaux de route certifié par des attestations de bonne
exécution délivrées par les maîtres d’ouvrages
Les intéressés par le présent avis peuvent soumissionner et retirer les cahiers des charges auprès de la
commune de Boutaleb contre paiement d’un montant de 1.500 DA libellé au compte de Monsieur le
receveur communal et ce, dès la parution du présent avis dans les quotidiens nationaux ou dans le
Bomop. Les offres doivent parvenir au plus tard quinze (15) jours calendaires à compter de la première
parution du présent avis sous enveloppe principale scellée ne portant aucune inscription extérieure autre
que l’objet de l’appel d’offres, le nom et l’adresse du maître d’ouvrage et la mention :
SOUMISSION À NE PAS OUVRIR
RÉPARATION DES CHEMINS COMMUNAUX
INTITULÉ DU PROJET : RÉPARATION DU CHEMIN COMMUNAL 472 ET 472A RELIANT CW09 À GUENIFA SUR 2,7
KM
Cette enveloppe principale comportera deux autres enveloppes scellées :
Première enveloppe portant la mention unique «Offre technique» et doit contenir les pièces suivantes :
La déclaration à souscrire signée, paraphée et datée par le soumissionnaire ou par une personne
dûment autorisée (cette autorisation fera l’objet d’une procuration écrite accompagnant l’offre) Toutes
les pièces justifiant la capacité technique et financière, l’expérience dans des marchés similaires, les
moyens et le plan de charge de l’entreprise Le planning d’exécution des travaux avec détail du mode
d’organisation et d’intervention en fonction des délais et des moyens utilisés Registre de commerce
approuvé par le Cnrc Certificat de qualification et de classification professionnelles dûment légalisé
(catégorie IV ou plus, activité principale travaux publics) Extrait de rôle (copie dûment légalisée) en
cours de validité apuré Mises à jour Cnas et Casnos (copies dûment légalisées) en cours de validité
Mise à jour Cacobatph (copie dûment légalisée) en cours de validité Statuts de l’entreprise légalisés
par le notaire Casier judiciaire du gérant de l’entreprise (copie dûment légalisée) en cours de validité
Liste du matériel sur laquelle figure l’immatriculation de chaque engin appuyée par des cartes grises
(copies légalisées) ou PV des Domaines avec assurances en cours de validité pour le matériel roulant +
PV de constat d’huissier de justice ou d’expert agréé de l’année en cours pour les autres matériels Les
qualifications et expériences des personnels clés qui dirigent le projet (chaque personne de l’équipe doit
présenter son diplôme (photocopie légalisée) et son affiliation à la Cnas) Références professionnelles de
l’entreprise (copies légalisées) appuyées par des attestations de bonne exécution Bilans financiers de
l’entreprise des trois dernières années (2009-2010-2011) dûment approuvés par les services des impôts,
audit ou validés par un commissaire aux comptes La présente instruction signée et paraphée
Attestation de dépôt légal des comptes sociaux pour les personnes morales (sociétés) pour l’année
2010 Déclaration de probité signée par le soumissionnaire Le numéro d’identification fiscale (NIF)
Deuxième enveloppe portant la mention unique «Offre financière» qui doit contenir :
La lettre de soumission signée, paraphée et datée par le soumissionnaire Devis quantitatif et estimatif
et bordereau des prix unitaires signés, paraphés et datés par le soumissionnaire
Les entreprises resteront engagées par leurs offres pendant trois (03) mois + quinze (15) jours à compter de
la date limite de dépôt des offres.
La date de dépôt des offres est fixée au quinzième (15e) jour à partir de la première parution dans les
quotidiens nationaux ou dans le Bomop, de 8h à 13h. Si ce jour coïncide avec un jour férié ou un jour de
repos légal, cette date sera reportée au premier jour ouvrable suivant, conformément à l’article 50 du
décret présidentiel n° 10/236 du 7/10/2010 portant réglementation des marchés publics, modifié et
complété. La séance d’ouverture des plis à laquelle les soumissionnaires sont invités à assister sera
publique et aura lieu le jour correspondant à la date limite de dépôt des offres, à 13h, au siège de la
commune de Boutaleb. Le maître d’ouvrage pourra prolonger exceptionnellement le délai de
préparation des offres, en cas de nécessité.
Nlle République / 4/11/12 / ANEP 66401/25
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